Saison 2025-2026 – Le Ballet de l’Opéra de Paris
L’Opéra de Paris a dévoilé sa saison 2025-2026. Pour le Ballet, c’est une étape puisqu’il s’agit de la première saison entièrement conçue par José Martinez. Il y a donc beaucoup de nouveautés, le retour des soirées mixtes. Et, indéniablement, la prédominance de la technique classique, dans le répertoire comme les créations. Une programmation qui s’annonce riche et pleine de surprises. Gros plan sur la saison 2025-2026 du Ballet de l’Opéra de Paris.

Affiche de la saison 2025-2026 de l’Opéra de Paris
La nouvelle saison en quelques mots
Après deux saisons à jongler entre ses envies et ce qui était déjà programmé par Aurélie Dupont, le Directeur de la Danse José Martinez a enfin pu montrer sa première véritable saison, qu’il a entièrement conçue. Et le changement se fait sentir. De manière générale, il tient sa promesse de mettre à l’honneur le langage classique. Que ce soit par les reprises, les entrées au répertoire ou les créations, la technique académique est celle qui est mise en valeur. C’est une bonne chose et redonne enfin une ligne directrice à la compagnie, qui était un peu allée dans tous les sens ces quinze dernières années.
Cela passe par de nombreuses soirées mixtes, avec des programmes souvent bien remplis (trois ou quatre spectacles, on est loin d’à peine une heure de danse de certains programmes de la décennie précédente), de temps en temps avec orchestre. Ce qui donne une saison avec forcément beaucoup de nouveautés : cinq créations dont une pour l’École de danse, six entrées au répertoire dont une pour le Junior Ballet. Les chorégraphes choisi-e-s ne sont pas forcément des inconnu-e-s sur la scène internationale, ils ont déjà souvent travaillé pour des Ballet en Europe et il n’y a pas de franche prise de risque. Mais la plupart ne sont pas familiers du public parisien, y compris Christopher Wheeldon, incontournable dans les pays anglo-saxons mais très peu dansé en France. Cela va donc donner une saison avec de nombreuses découvertes et la sensation régulière de nouveautés. D’autant que, si ces chorégraphes travaillent majoritairement sur la technique classique, ils proposent des univers très différents. Il manque certes, encore, d’un grand nouveau ballet narratif. Ce sont des projets qui prennent du temps, de l’argent aussi, et à défaut cette multitude de nouveaux chorégraphes va permettre de donner une respiration à la compagnie.
Autour de cela, le répertoire est le bienvenu : Giselle, La Dame aux camélias, La Bayadère, Roméo et Juliette assurent les grandes séries classiques, Le Parc, Notre-Dame de Paris et The Season’s Canon pour les œuvres plus récentes. Cela structure l’ensemble et permet un bon équilibre. Et donne ainsi une saison que nous aimons bien.
Enfin un petit point concernant les prix. À l’Opéra de Bastille, il n’y a pas de changement de catégorie à noter, mais les prix augmentent pour les grands classiques d’une bonne dizaine d’euros pour les catégories 5 à Optima. La tarification baisse cependant, entre 20 et 35 euros selon les catégories, pour le programme mixte Racines. Cette salle est devenue problématique pour la danse depuis deux ans, avec une perte certaine du mouvement et des expressions si on s’éloigne trop, et un parterre quasiment inaccessible à moins de 100 euros. Rien de spécial n’est à signaler au Palais Garnier.
La parité dans la programmation
Vous le savez : la parité des programmations est un peu notre sujet sensible chez DALP et nous aimons faire les comptes pour chaque saison (et chaque compagnie). Cette saison, le Ballet de l’Opéra de Paris ne proposait qu’une femme chorégraphe. Pour la saison 2025-2026, c’est mieux (certes, il aurait été difficile de faire pire) : la majorité des créations sont commandées à des femmes, et sur les 22 chorégraphes crédité-e-s, 14 sont des hommes (64%) et 8 sont des femmes (36 %). Cela reste donc un cruel manque d’équité, même si les choses vont dans le bon sens. Mais le discours de la direction, Alexander Neef et José Martinez, sur ces questions marquait quand même un certain manque de volonté, à coup de : « On ne va pas changer 400 ans de répertoire » et autres « Seule la valeur compte« . Alors reprenons les bases. Le fait que les femmes chorégraphient n’est absolument pas un phénomène récent (à lire : Nouvelle histoire de la danse en Occident dirigé par Laura Cappelle. Ou tout simplement : aller chercher sur Memopera). Si elles sont absentes de l’histoire de danse, c’est par un processus d’invisibilisation (qui a d’ailleurs touché l’ensemble des autres arts, mais aussi des sciences, etc). Le rapport sur l’égalité Femmes-Hommes des Centres Chorégraphiques nationaux publié il y a deux ans donne tous les chiffres, expliquent les processus conscients ou inconscients des discriminations et invisibilisations et indique de nombreuses pistes de réflexions et des solutions concrètes. Messieurs, en 2025, merci de faire un effort.
La saison 2025-2026 en détails
Giselle de Jean Coralli, Jules Perrot
Du 28 septembre au 31 octobre 2025, avant-première jeune le 25 septembre, Gala d’ouverture de saison le 27 septembre. 25 représentations au Palais Garnier. Direction musicale Andrea Quinn, Orchestre de l’Opéra de Paris.
Voilà combien de temps que le Ballet de l’Opéra de Paris n’avait ouvert sa saison avec un grand ballet classique ? D’autant plus avec Giselle, son ballet emblématique ? Démarrer ainsi est tout de même le signe d’un changement. On se réjouit de retrouver très régulièrement cette belle production, avec des artistes qui peuvent donc y grandir et s’emparer pleinement des rôles principaux, si riches. Giselle, jeune paysanne, est amoureuse d’Albrecht qui lui promet monts et merveilles. Mais celui-ci est un noble, et non un paysan comme il le fait croire à sa belle, et déjà engagé auprès de Bathilde. Folle de douleur, au sens littéral, Giselle meurt et se retrouve transformée en Willis, des être fantomatiques mortes avant leur mariage, qui la nuit hantent la forêt et mettent à mort les hommes, sous la houlette de Myrtha. Des sentiments universels – l’amour, la mort, la folie, la lâcheté, le regret, le pardon – aux multiples strates d’interprétation, y compris féministes très actuelles (allez voir le final de la saison 4 de The Handmaid’s Tale) nourrissent ce ballet depuis plus de 180 ans.
Cette série s’ouvrira par une soirée de Gala (Arop) le 27 septembre, ainsi que de deux soirées particulières les 30 septembre et 2 octobre. Lors de ces trois soirs, Giselle sera précédée du Défilé du Ballet ainsi que de l’entrée au répertoire de Requiem for a Rose d’Annabelle López Ochoa par le Junior Ballet. Une chorégraphe néo-classique talentueuse, demandée partout dans le monde depuis 15 ans et que l’on se réjouit de voir à Paris. Dommage cependant que cela ne soit que sur deux dates. Un avant-goût avant un travail plus conséquent pour la compagnie ? C’est à espérer.

Giselle de Jean Coralli, Jules Perrot – Ballet de l’Opéra de Paris – Myriam Ould-Braham et Paul Marque
Programme Racines
Thème et variations de George Balanchine, Corybantic Games de Christopher Wheeldon, Rhapsodies de Mthuthuzeli November
Du 6 octobre au 10 novembre 2025, treize représentations à l’Opéra Bastille. Direction musicale Vello Pähn, Orchestre de l’Opéra de Paris.
Benjamin Millepied avait ressorti Thème et variations de George Balanchine (oublié depuis 20 ans à l’époque) il y a dix ans, il était temps de retrouver l’un des chefs-d’œuvres du maître américain. Thème et variations, c’est un ballet abstrait en tutus et pointes (la production est somptueuse), ne faisant qu’un avec la superbe partition de Tchaïkovski. C’est à la fois un défi pour le corps de ballet et les solistes, aux multiples références à Marius Petipa. Autour de ce pure classique, place à deux nouveautés. C’est d’abord le retour de Christopher Wheeldon, chorégraphe classique très efficace, qui revient pour la troisième fois à Paris. Il propose son ballet Corybantic Games, inspiré à la fois par la mythologie grecque et Bernstein (la pièce a été créée en 2018 au Royal Ballet pour le centenaire du compositeur) et qui donne à danser à une dizaine de solistes. Enfin, vraie découverte à Paris, place à l’entrée au répertoire de Rhapsodies de Mthuthuzeli November, chorégraphe venu de Cape Town. Une pièce créée au Ballet de Zurich en 2024, aux accents plus urbains et jazzy – la musique est de Gershwin – mais toujours basée sur le langage classique et la pointe. Bref, une belle soirée classique, entre le maître Balanchine et deux signatures d’aujourd’hui, qui donne envie. Le petit regret est de voir cela à Bastille.
Programme Contrastes
O złożony / O composite de Trisha Brown, If you couldn’t see me de Trisha Brown, Anima animus de David Dawson, Drift wood de Imre & Marne van Opstal.
Du 1er au 31 décembre 2025, 23 représentations au Palais Garnier. Musiques enregistrées.
C’est le retour de Trisha Brown, prêtresse de la post-modern dance, à l’Opéra de Paris, dont on n’avait pas vu les œuvres depuis plus de dix ans dans la compagnie. La chorégraphe était très appréciée de Brigitte Lefèvre, ses successeur-se-s ne l’avaient pas forcément suivis. Il faut dire que ses pièces ne sont pas forcément faciles d’accès, même si très belles. À l’image de O złożony / O composite, créée pour Aurélie Dupont, Manuel Legris et Nicolas Le Riche en 2004, un long trio d’une trentaine de minutes entre noir et blanc où Trisha Brown déploie toute sa grammaire. Ou comme son solo If you couldn’t see me, qui fait son entrée au répertoire, dansé uniquement dos au public. David Dawson, chorégraphe néo-classique très demandé depuis 20 ans en Allemagne et à Amsterdam, fait son arrivée à l’Opéra de Paris avec sa pièce Anima animus, créée en 2018 au San Francisco Ballet et entré au répertoire de plusieurs compagnies depuis. Une pièce néo-classique, abstraite, pour six artistes. C’est enfin une création, Drift wood du duo Imre & Marne van Opstal, un duo qui officie là encore beaucoup en Europe du Nord, pour une danse plus contemporaine et virtuose. La pièce devrait porter sur « la résilience, l’adaptabilité et le lâcher-prise« . Voilà donc une soirée mixte entre danse contemporaine et néo-classique, plutôt pour des petits groupes d’interprètes. Peut-être quelque chose d’un peu aride pour la période des Fêtes, mais dense et avec des découvertes intéressantes.
Notre-Dame de Paris de Roland Petit
Du 6 au 31 décembre 2025, avant-première jeune le 4 décembre, 20 représentations à l’Opéra Bastille. Direction musicale Jean-François Verdier, Orchestre de l’Opéra de Paris.
Notre-Dame de Paris de Roland Petit ? Je l’avoue : je ne suis pas franchement convaincue. Nous ne sommes pas vraiment ici dans le ballet à paillettes, joyeux et familial, mais plutôt dans une œuvre sombre, un peu glauque, qui a beaucoup de qualités mais a aussi mal vieilli par endroit. 60 ans après sa création, il reste quatre personnages emblématiques – Esmeralda, Quasimodo, Frollo et Phoebus – avec chacun une variation ou un passage incroyable. Entre, c’est parfois plus compliqué, dans la narration comme l’esthétique. En tout cas, c’est le souvenir que ce ballet a laissé lors des dernières représentations il y a dix ans (la récente reprise avait été annulée par le Covid). Reste à voir comment se passera ce retour.
Le Parc d’Angelin Preljocaj
Du 3 au 25 février 2026, avant-première jeune le 2 février, 18 représentations au Palais Garnier. Direction musicale Zoe Zeniodi, Orchestre de chambre de Paris.
La musique de Mozart, la Carte du Tendre et Les Liaisons dangereuses : voilà la base du ballet Le Parc d’Angelin Preljocaj, imaginé pour le Ballet de l’Opéra de Paris en 1994, régulièrement repris depuis et devenu un pilier du répertoire contemporain de la troupe. Et avec raison. Plus de 30 ans après sa création, l’œuvre séduit toujours autant, par son émotion à fleur de peau, sa danse si musicale, ses deux magnifiques rôles d’Étoile, son Baiser qui s’envole devenu iconique. Il est plus que temps que la nouvelle génération s’en empare. Car entre les grèves catastrophiques de 2019 et le Covid en 2021, ce ballet n’a pas été repris dans son intégralité depuis plus de dix ans. On se réjouit de ce retour.

Le Palais Garnier
Programme Empreintes
Une création de Morgann Runacre-Temple et Jessica Wright, Étude de Marcos Morau.
Du 11 au 28 mars 2026, 17 représentations au Palais Garnier. Musiques enregistrées.
La formule est assez classique pour cette soirée : combiner la danse et la vidéo. Deux créations, dans un registre contemporain – peut-être la soirée la plus axée sur la technique contemporaine de la saison – s’y essayeront, par trois chorégraphes qui ne sont encore jamais venues à l’Opéra de Paris. DALP vient de découvrir la chorégraphe anglaise Morgann Runacre-Temple, qui a proposé une création réussie au Ballet du Capitole autour de Barbara. Elle s’associe ici avec la chorégraphe Jessica Wright et réfléchissent dans cette pièce sur comment la caméra peut rendre la danse plus viscérale. Plus connu sur la scène internationale, notamment avec La Veronal, Marcos Morau s’inspire pour sa création Étude sur le rapport entre l’obscurité et la lumière.
Roméo et Juliette de Rudolf Noureev
Du 2 avril au 12 mai 2026, avant-première jeune le 1er avril, 22 représentations à l’Opéra Bastille. Direction musicale Robert Houssart, Orchestre de l’Opéra de Paris.
Monté en 1984 pour le Ballet de l’Opéra de Paris, régulièrement repris depuis, Roméo et Juliette de Rudolf Noureev est un classique du répertoire de la compagnie. Et la nouvelle génération s’en est emparée avec enthousiasme au cours des dernières reprises. Cette production a beaucoup de qualités, notamment une mise en scène virtuose sur les mouvements de foule, avec de magnifiques idées dramatiques. Mais la chorégraphie reste désespérément alambiquée, devenant forcément vieillissante. Et malgré la grandeur de la production avec ses décors imposants, ce ballet n’est pas le plus à l’aise à Bastille, où l’on est vite loin pour être vraiment dans les émotions des personnages. À voir pour votre distribution coup de cœur, très bien placé.

Roméo et Juliette de Rudolf Noureev – Ballet de l’Opéra de Paris – Léonore Baulac
Spectacles de l’École de Danse
Les Démonstrations : du 6 au 14 décembre 2025, six représentations au Palais Garnier.
Spectacle : du 15 au 19 avril 2026, quatre représentations au Palais Garnier. Direction musicale Fayçal Karoui, Orchestre des Lauréat-e-s du Conservatoire.
Le spectacle annuel de l’École de Danse est toujours l’un des plus réussis programmes de la saison. Cette année encore, le programme est alléchant. Avec ainsi la création Le Petit Prince – un sujet idéal pour une école de danse – de Clairemarie Osta, qui revient donc à l’Opéra de Paris en tant que chorégraphe. Elle est accompagnée de deux classiques du répertoire de l’École. D’abord Soir de Fête de Léo Staats, emblématique du répertoire français du XXe siècle. Puis avec Yondering de John Neumeier, magnifique pièce où la technique classique se mêle de contemporain, confiée uniquement à des écoles de danse. Et où les élèves excellent. Un très beau programme.
La Dame aux camélias de John Neumeier
Du 5 au 23 mai 2026, 16 représentations au Palais Garnier. Direction musicale Markus Lehtinen, Orchestre de l’Opéra de Paris.
Créé en 1978 à Stuttgart, La Dame aux camélias de John Neumeier s’est vite imposée comme un tube du répertoire classique de la fin du XXe siècle, repris par de nombreuses compagnies de ballet autour du monde. Et on comprend pourquoi : le ballet a une magnifique narration, portée par la musique de Chopin et des pas de deux emblématiques; les Étoiles y trouvent des rôles d’une grande intensité et il y a de la place pour de nombreux solistes. C’est un ballet qui fonctionne bien et qui se sert avec beaucoup de justesse du langage académique pour raconter une histoire. L’Opéra de Paris danse cette Dame aux camélias depuis 2006, régulièrement. Mais le ballet n’avait pas été repris depuis sept ans. Son retour est donc le bienvenu. L’on n’y manquera pas Dorothée Gilbert, qui y fera enfin sa prise de rôle quelques mois avant ses adieux à la scène (prévus en septembre 2026).
La Bayadère de Rudolf Noureev
Du 17 juin au 14 juillet 2026, avant-première jeune le 15 juin, 19 représentations à l’Opéra Bastille. Direction musicale Koen Kessels, Orchestre de l’Opéra de Paris.
La Bayadère est sûrement l’une des plus belles productions de Rudolf Noureev, qui résiste peu ou prou au temps qui passe. On y retrouve tous les ingrédients d’un bon ballet : une histoire de conte dans une Inde imaginaire, des rôles principaux emblématiques, de l’amour, du drame, des divertissements iconiques, des décors et costumes fastueux et un magnifique acte blanc final, dans la grande lignée de l’héritage de Marius Petipa. C’est aussi une production qui s’accorde bien à la grandeur de l’Opéra Bastille (même si l’on y préfèrera toujours l’intimité du Palais Garnier). Bref, un grand ballet classique familial et brillant pour terminer la saison, où devraient s’y succéder de nombreuses Étoiles et jeunes talents.

La Bayadère de Rudolf Nourev – Ballet de l’Opéra de Paris – Dorothée Gilbert
Soirée Vibrations
Dreams This Way de Micaela Taylor, Solo for Two de Mats Ek, The Season’s Canon de Crystal Pite
Du 27 juin au 14 juillet 2026, quatorze représentations au Palais Garnier. Musiques enregistrées.
Venue du hip hop et du ballet, Micaela Taylor, encore peu connue sur la scène internationale, commence à s’y faire une place, avec des commandes pour le NDT 2 et le Birmingham Royal Ballet. Et donc pour le Ballet de l’Opéra de Paris, où elle proposera sa création Dreams This Way. Place ensuite à la reprise du tube The Season’s Canon de Crystal Pite, toujours aussi efficace et bienvenu, d’autant plus qu’il fait appel à un large groupe. Entre les deux, c’est l’entrée au répertoire du très beau Solo for Two de Mats Ek. Une soirée éclectique, entre découverte et artiste habitués de la troupe, plutôt dans une ligne contemporaine.
Le Junior Ballet
Après une année à se former, apprendre du répertoire et danser dans La Belle au bois dormant, le Junior Ballet part pour une longue tournée d’une soixantaine de dates, la saison prochaine en France, en Espagne, en Allemagne, en Suisse et en Malaisie. Place à Allegro brillante de George Balanchine, Cantate 51 de Maurice Béjart, Aunis de Jacques Garnier, Requiem for a Rose d ‘Annabelle López Ochoa et Mi Favorita de José Martinez. Une façon un peu détournée pour l’Opéra de Paris de partir en tournée en région, et une sacrée expérience pour ces jeunes talents.
Informations pratiques
Toutes les dates des spectacles sont à retrouver sur le site de l’Opéra de Paris. Les abonnements seront disponibles dès le samedi 5 avril à 15h pour les personnes déjà abonnées, dès le mardi 22 avril à midi pour les non-abonné-e-s.
Langlois Poulain Yvette
Merci pour vos articles. Vous faites autorité dans vos critiques et je vous lis avec grand intérêt et plaisir car je vous crois objectifs.
BA
Merci pour vos commentaires. Votre commentaire sur Notre Dame de Paris m´a un peu refroidie! Moi qui pensait venir exprès de loin pour voir ce ballet!
Et revoila la parité…. c´est un fait qu´il y a beaucoup plus d´hommes compositeurs, choreographes, couturiers, peintres et autres. Peut-être y a-t-il moins de candidates ?
Petit clin d´oeil et avec toute ma sympatie, a part F. Saumon….je crois qu’íl n´y a que des femmes dans votre équipe!!!
(Je précise que je suis une femme)